Les gones en EDF
Rassemblement de l'EDF
Govou incertain
Du fait de sa blessure à la cheville, l'incertitude règne quant à la participation ou non de Sidney Govou aux deux matches de l'Equipe de France cette semaine.
Coupet s'exprime
Squillaci en renfort!
Raymond Domenech a fait apelle a Squillaci pour palier a un éventuel forfait de William Gallas. Un gone en plus en EDF!
Toulalan a les moyens de s'imposer, d'apres Foot365.
Govou incertain
Du fait de sa blessure à la cheville, l'incertitude règne quant à la participation ou non de Sidney Govou aux deux matches de l'Equipe de France cette semaine.
Coupet s'exprime
Foot - Bleus : Coupet jusqu'en 2008?
Grégory Coupet a l'intention de pousser sa carrière internationale jusqu'à l'Euro 2008, qui pourrait être sa première phase finale en tant que titulaire, mais il doute davantage de sa présence en Afrique du Sud. «Très honnêtement, je ne sais, répond-il quand il est interrogé sur le terme de sa carrière internationale. Je suis un peu là pour faire tampon avec la future très bonne génération qui vient. Je suis bien conscient que mes jours sont comptés. Il va falloir que ces jeunes gardiens jouent maintenant les matches de Ligue des champions et accèdent au haut niveau. Même à Lyon, je ne pourrais pas rester dix ans, idem pour Ulrich (Ramé) à Bordeaux. Donc, il y a des places à prendre.»
La Coupe du monde 2010, « il ne l'envisage pas, car il y a cette super génération. Et je ne sais pas comment je serai à 37 ans. Je suis à un âge où je suis tributaire de problèmes physiques. A un certain moment, si j'ai une blessure de deux, trois mois, il y a peu de chances qu'on me fasse confiance par la suite. Je suis conscient de la position à laquelle je suis, et que je n'ai pas le droit à l'erreur quoi qu'il arrive.»
Il se projette plus volontiers sur l'Euro 2008, mais «si je suis bon cette année et bidon l'année prochaine, il n'y a aucune raison que je sois titulaire», dit le Lyonnais aux 21 sélections, la plupart en remplacement de Fabien Barthez. «Moi, je marche comme ça. Si tu es bon tu joues, sinon tu ne joues pas, surtout en équipe de France.» Coupet était troisième gardien des Bleus à la Coupe du monde 2002, et deuxième en 2006 ainsi qu'à l'Euro 2004.
Grégory Coupet a l'intention de pousser sa carrière internationale jusqu'à l'Euro 2008, qui pourrait être sa première phase finale en tant que titulaire, mais il doute davantage de sa présence en Afrique du Sud. «Très honnêtement, je ne sais, répond-il quand il est interrogé sur le terme de sa carrière internationale. Je suis un peu là pour faire tampon avec la future très bonne génération qui vient. Je suis bien conscient que mes jours sont comptés. Il va falloir que ces jeunes gardiens jouent maintenant les matches de Ligue des champions et accèdent au haut niveau. Même à Lyon, je ne pourrais pas rester dix ans, idem pour Ulrich (Ramé) à Bordeaux. Donc, il y a des places à prendre.»
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La Coupe du monde 2010, « il ne l'envisage pas, car il y a cette super génération. Et je ne sais pas comment je serai à 37 ans. Je suis à un âge où je suis tributaire de problèmes physiques. A un certain moment, si j'ai une blessure de deux, trois mois, il y a peu de chances qu'on me fasse confiance par la suite. Je suis conscient de la position à laquelle je suis, et que je n'ai pas le droit à l'erreur quoi qu'il arrive.»
Il se projette plus volontiers sur l'Euro 2008, mais «si je suis bon cette année et bidon l'année prochaine, il n'y a aucune raison que je sois titulaire», dit le Lyonnais aux 21 sélections, la plupart en remplacement de Fabien Barthez. «Moi, je marche comme ça. Si tu es bon tu joues, sinon tu ne joues pas, surtout en équipe de France.» Coupet était troisième gardien des Bleus à la Coupe du monde 2002, et deuxième en 2006 ainsi qu'à l'Euro 2004.
Squillaci en renfort!
Raymond Domenech a fait apelle a Squillaci pour palier a un éventuel forfait de William Gallas. Un gone en plus en EDF!
Toulalan a les moyens de s'imposer, d'apres Foot365.
Jérémy Toulalan répond à sa troisième convocation en équipe de France à l’occasion de ce stage. Il est venu en même temps que son nouveau concurrent et partenaire lyonnais, Alou Diarra. Il a vu son ex-partenaire des Bleuets, Rio Mavuba, passer devant le château des A pour s’installer dans les anciennes écuries de Clairefontaine. Toulalan, Diarra, Mavuba : trois milieux défensifs dans le vent qui comptent bien s’incruster en équipe nationale. Trois joueurs aux profils différents qui se disent qu’il y a une place à prendre dans l’entrejeu des Bleus, surtout après l’annonce du départ de Claude Makelele en 2008. Dernier arrivé, l’ancien Nantais aux tempes grisonnantes est peut-être celui qui décrochera le pompon.
Avec l’assurance de ses 23 ans tout juste fêtés, le milieu de terrain a énormément progressé, même s’il reste timide face à la presse. Sur le terrain, il s’éclate et profite au maximum de son association avec Tiago et Juninho. « C’est facile de jouer avec de tels joueurs », lâche ce jeune papa, pas vraiment féru de football mais suffisamment pour se rendre compte qu’il franchit un sacré palier chez les Gones. Là où Pedretti s’est planté, là où Diarra éprouve des difficultés, Toulalan, malgré une « dernière saison décevante à Nantes », est étonnant de maturité. Il s’installe petit à petit dans le fauteuil de demi défensif laissé vide par Djila Diarra. Forcément, quand les performances de Ligue 1 se répètent en Ligue des Champions, cela ne peut laisser insensible le sélectionneur. Jérémy Toulalan ne se projette toutefois pas trop dans l’avenir lointain, se concentrant sur la quinzaine à venir.
Il devrait y jouer ses premières minutes en A. « Je n’ai pas encore eu de sélection et peu importe quand arrivera la première, avoue-t-il. L’Ecosse et les Féroé sont deux matchs aussi importants. » Adoubé par Claude Makelele, qui l’a implicitement désigné comme son successeur,Jérémy Toulalan doit continuer sur la voie tracée à Lyon. Et même s’améliorer, selon lui, pour s’installer en Bleu. « A Lyon, c’est facile : je donne à Tiago ou Juninho, qui donne aux gars de devant. Il faut que je sois capable d’amener plus de ballons devant. » Récupérateur inlassable, relanceur admirable, Toulalan a un profil intermédiaire entre Diarra et Mavuba, par la taille comme par le jeu. Mavuba chez les Bleuets, Diarra remplaçant à Lyon comme en Bleus, Toulalan semble avoir les moyens de s’imposer. A lui de le prouver.
Avec l’assurance de ses 23 ans tout juste fêtés, le milieu de terrain a énormément progressé, même s’il reste timide face à la presse. Sur le terrain, il s’éclate et profite au maximum de son association avec Tiago et Juninho. « C’est facile de jouer avec de tels joueurs », lâche ce jeune papa, pas vraiment féru de football mais suffisamment pour se rendre compte qu’il franchit un sacré palier chez les Gones. Là où Pedretti s’est planté, là où Diarra éprouve des difficultés, Toulalan, malgré une « dernière saison décevante à Nantes », est étonnant de maturité. Il s’installe petit à petit dans le fauteuil de demi défensif laissé vide par Djila Diarra. Forcément, quand les performances de Ligue 1 se répètent en Ligue des Champions, cela ne peut laisser insensible le sélectionneur. Jérémy Toulalan ne se projette toutefois pas trop dans l’avenir lointain, se concentrant sur la quinzaine à venir.
Il devrait y jouer ses premières minutes en A. « Je n’ai pas encore eu de sélection et peu importe quand arrivera la première, avoue-t-il. L’Ecosse et les Féroé sont deux matchs aussi importants. » Adoubé par Claude Makelele, qui l’a implicitement désigné comme son successeur,Jérémy Toulalan doit continuer sur la voie tracée à Lyon. Et même s’améliorer, selon lui, pour s’installer en Bleu. « A Lyon, c’est facile : je donne à Tiago ou Juninho, qui donne aux gars de devant. Il faut que je sois capable d’amener plus de ballons devant. » Récupérateur inlassable, relanceur admirable, Toulalan a un profil intermédiaire entre Diarra et Mavuba, par la taille comme par le jeu. Mavuba chez les Bleuets, Diarra remplaçant à Lyon comme en Bleus, Toulalan semble avoir les moyens de s’imposer. A lui de le prouver.